Face à l’orage sous le grondement des tonnerres et à la lueur des éclairs qui précèdent la foudre, nous devons rester debout disait Jean Jaurès.
Dans ces propos luminaires, je tiens chaleureusement et particulièrement à saluer cette union sacrée autour du candidat unanimement choisi par Le Président Ousmane Sonko qui, d’ailleurs il faut le reconnaître à juste titre , a été un grand stratège en déjouant toutes les sales machinations visant à éliminer la “vox populi” ( la voix du peuple) d’avoir son candidat aux élections présidentielles qui se profilent à l’horizon. Tel un phénix Le Président Ousmane Sonko une véritable pieuvre ( oiseau qui ne lâche jamais sa proie) renaît toujours de ses cendres en provoquant chez ses adversaires un vent de désespoir et de panique qui se manifeste malencontreusement par un cafouillage gouvernemental, un sauve-qui-peut et surtout par une colère incoercible du chef complotiste ( véritable parrain de la mafia).
Certainement celui qui a juré d’éliminer Le Président Ousmane Sonko aux prochaines échéances électorales ignore à coup sûr cette belle et profonde citation de Djibril Tamsir Niane dans Soundjata ou L’épopée Mandingue que : L’homme, sous le coup de certaines illusions, croît pouvoir modifier la voie que Dieu a tracée mais tout ce qu’il fait entre dans un ordre supérieur qu’il ne comprend guère…
En langage simple, rétorquons à nos adversaires qu’on n’arrête pas la mère avec ses bras surtout que dans ces eaux y figure un bateau en déréliction qui tangue dangereusement et qui si l’on n’y prend pas garde risque couler sous nos regards impuissants et complices.
Comme Nelson Mandela dont les similitudes sont frappantes et significatives, Le Président Ousmane Sonko a cette intime et puissante conviction que : «Le caractère se mesure dans les situations difficiles. un héros ne se plie pas même dans les circonstances les plus dures* disait Nelson Mandela «Un long chemin vers la liberté » (1996).
C’est pourquoi d’ailleurs, je ne peux que saluer
son choix judicieux et éclairé sur la personne brillantissime, admirablement courageuse et extrêmement compétente qu’est le camarade Inspecteur principal de classe exceptionnelle Monsieur Bassirou Diomaye Faye pour continuer le combat qui a nécessité beaucoup de sacrifice afin d’assurer à ces vaillants sénégalais des “futurs flamboyants”.
Déjà dans une publication prémonitoire datée de six (06) ans appelée “le festin de Ndengler” ( article publié dans beaucoup de journaux en ligne), je louais la bravoure de ce digne fils de Ndiaganiao véritable Sérère vrai héritier des Guelwars qui a défendu mordicus avec sa dernière énergie les paysans de cette partie du Sénégal contre l’oligarchie prédatrice foncière de cette nouvelle bourgeoisie qui jette maintenant son dévolu sur les terres de ces vaillants paysans Sérères.
Sur les plateaux de télévision, je fus admiratif de cette éminence grise qui se matérialise dans ses démonstrations, cette lucidité implacable avec laquelle il met à nu les tares du régime moribond et liberticide et surtout ce sens de la répartie.
Ce qui m’a le plus frappé chez Bassirou Diomaye Dakhar Faye, c’est que dans le plus profond des rigueurs carcérales, personne ne l’a entendu renier ses convictions ou pleurnicher par le biais des médias. Calme, imperturbable serein et stoïque avec cette ultime et puissante conviction qu’: “Allah en qui sa confiance est totale et absolue reste Le Seul Maître de son destin”.
Il ne reste qu’à souhaiter que cette énergie positive et cet enthousiasme débordant déployés sur le terrain pour la collecte des parrainages se matérialise par une victoire écrasante et éclatante au soir du 25 février 2024.
Mouhamed Diop
Patriote engagé
