Les défis socio-économique, humanitaire, démocratique et politique auxquels notre continent doit faire face font ressortir l’urgence et la nécessité d’union voire d’unité et de rassemblement des forces politiques progressistes et panafricanistes africaines pour trouver ensemble les réponses en adéquation avec les aspirations des peuples d’Afrique, et particulièrement de la jeunesse africaine.
C’est pourquoi, nous, partis et organisations politiques panafricanistes africains, décidons d’une part, de nous unir pour défendre les intérêts de l’Afrique qui sont bien au-dessus de ceux relatifs aux politiques internes propres à chaque pays, et d’autre part, d’engager des actions susceptibles de relancer le processus devant conduire vers la véritable unité africaine, qui sera la résultante conséquente de la renaissance de Kama.
Ce processus d’unification africaine par la fédération politique conduira nécessairement notre organisation, à travers les initiatives prises et actions effectuées, à engager résolument notre continent sur la voie de la reconquête effective de sa souveraineté totale, pleine et entière. Les différents partis et organisations politiques réunis au sein de la présente Conférence des Présidents Panafricains, appellent respectueusement les autorités sénégalaises à appliquer le droit positif national et international en mettant fin aux persécutions iniques, pour motifs politiques, et aux autres actes de répression dont sont victimes M. Ousmane Sonko et le parti politique PASTEF dont il est le président.
C’est parce qu’il est temps de mettre fin au « cancer de la trahison », c’est-à-dire à la longue tragédie d’élimination des leaders nationalistes et panafricanistes par d’autres Africains interposés, et que le Sénégal et l’Afrique ont besoin de tous leurs vaillants fils pour se reconstruire, qu’il importe de garantir une paix politico- sociale mise à mal au Sénégal depuis la détermination affichée de M. Macky Sall – qui ne peut briguer un troisième mandat – d’empêcher que le président du PASTEF lui succède démocratiquement par la voie des urnes, et que nous, responsables de partis et organisations politiques panafricanistes, signataires de la présente déclaration conjointe et réunis dans la Conférence des Présidents Panafricains (CPP) :
- Lançons la campagne politique et médiatique dénommée PASTEF-AFRIKA qui ne s’achèvera qu’à la libération d’Ousmane Sonko et à la réhabilitation de son parti le PASTEF ;
- Appelons les autres partis et organisations politiques panafricanistes, de même que tous les organes de la société civile africaine à s’associer au présent appel ;
- Décidons que le PASTEF, interdit injustement en terre sénégalaise, sera reconnu, représenté et soutenu dans toutes les autres parties de la terre africaine et du monde noir;
- Décidons que durant toute la campagne politique et médiatique PASTEF- AFRIKA, les partis et organisations politiques panafricanistes prendront comme radical à leur dénomination l’acronyme PASTEF ajouté de l’indicatif téléphonique du pays où le parti d’Ousmane Sonko a trouvé asile et est reconnu tant symboliquement que juridiquement pour y exercer ses activités ;
- Réaffirmons tout notre soutien moral et politique au peuple sénégalais et singulièrement à sa jeunesse qui aspire à un réel renouveau démocratique débarrassé de l’emprise françafricaine.
Une nouvelle Afrique renaît, par la lutte panafricaine libératrice, qui prendra bientôt sa place au firmament, comme il fut au commencement.
Fait à Dakar, le 20 septembre 2023
Les défis socio-économique, humanitaire, démocratique et politique auxquels notre continent doit faire face font ressortir l’urgence et la nécessité d’union voire d’unité et de rassemblement des forces politiques progressistes et panafricanistes africaines pour trouver ensemble les réponses en adéquation avec les aspirations des peuples d’Afrique, et particulièrement de la jeunesse africaine.
C’est pourquoi, nous, partis et organisations politiques panafricanistes africains, décidons d’une part, de nous unir pour défendre les intérêts de l’Afrique qui sont bien au-dessus de ceux relatifs aux politiques internes propres à chaque pays, et d’autre part, d’engager des actions susceptibles de relancer le processus devant conduire vers la véritable unité africaine, qui sera la résultante conséquente de la renaissance de Kama.
Ce processus d’unification africaine par la fédération politique conduira nécessairement notre organisation, à travers les initiatives prises et actions effectuées, à engager résolument notre continent sur la voie de la reconquête effective de sa souveraineté totale, pleine et entière. Les différents partis et organisations politiques réunis au sein de la présente Conférence des Présidents Panafricains, appellent respectueusement les autorités sénégalaises à appliquer le droit positif national et international en mettant fin aux persécutions iniques, pour motifs politiques, et aux autres actes de répression dont sont victimes M. Ousmane Sonko et le parti politique PASTEF dont il est le président.
C’est parce qu’il est temps de mettre fin au « cancer de la trahison », c’est-à-dire à la longue tragédie d’élimination des leaders nationalistes et panafricanistes par d’autres Africains interposés, et que le Sénégal et l’Afrique ont besoin de tous leurs vaillants fils pour se reconstruire, qu’il importe de garantir une paix politico- sociale mise à mal au Sénégal depuis la détermination affichée de M. Macky Sall – qui ne peut briguer un troisième mandat – d’empêcher que le président du PASTEF lui succède démocratiquement par la voie des urnes, et que nous, responsables de partis et organisations politiques panafricanistes, signataires de la présente déclaration conjointe et réunis dans la Conférence des Présidents Panafricains (CPP) :
- Lançons la campagne politique et médiatique dénommée PASTEF-AFRIKA qui ne s’achèvera qu’à la libération d’Ousmane Sonko et à la réhabilitation de son parti le PASTEF ;
- Appelons les autres partis et organisations politiques panafricanistes, de même que tous les organes de la société civile africaine à s’associer au présent appel ;
- Décidons que le PASTEF, interdit injustement en terre sénégalaise, sera reconnu, représenté et soutenu dans toutes les autres parties de la terre africaine et du monde noir;
- Décidons que durant toute la campagne politique et médiatique PASTEF- AFRIKA, les partis et organisations politiques panafricanistes prendront comme radical à leur dénomination l’acronyme PASTEF ajouté de l’indicatif téléphonique du pays où le parti d’Ousmane Sonko a trouvé asile et est reconnu tant symboliquement que juridiquement pour y exercer ses activités ;
- Réaffirmons tout notre soutien moral et politique au peuple sénégalais et singulièrement à sa jeunesse qui aspire à un réel renouveau démocratique débarrassé de l’emprise françafricaine.
Une nouvelle Afrique renaît, par la lutte panafricaine libératrice, qui prendra bientôt sa place au firmament, comme il fut au commencement.
Fait à Dakar, le 20 septembre 2023